L’agence de traduction au féminin

Le 8 mars et la journée des droits de la femme. C’est en 1977 que les Nations Unies ont, pour la première fois, internationalisé la « Journée internationale des femmes ».

Chez ACSTraduction, l’équipe est composée majoritairement de femmes. Anke Seyberth, fondatrice et dirigeante, a créé l’agence de traduction en 2014. Depuis, celle-ci s’affirme de plus en plus sur le marché et l’équipe s’agrandit.

En effet, Daphné (responsable clientèle professionnelle), Floriane (chargée de projet B2C) et Mélanie (traductrice et relectrice) ont intégré l’agence en 2016. Karine (service comptabilité) en 2017, Sophie (traductrice et chargée de projet B2C) en 2018, Jonathan (développeur web), Maria (responsable clientèle professionnelle) et Clémence (traductrice et chargée de projet B2C) en 2019. Sans oublier les différent.es stagiaires !

Si la proportion de femmes dans l’équipe est remarquable, elle est également représentative du monde de la traduction plus généralement. Au sein de cette profession, les femmes forment environ 70% des effectifs. La grande majorité des traducteurs exercent leur profession en « freelance », ils sont travailleurs indépendants (profession libérale ou auto-entreprenariat).

Des inégalités toujours présentes pour les droits des la femme

S’il est bien connu que d’importantes inégalités de revenus persistent entre femmes et hommes pour l’emploi salarié[1], parmi les travailleurs indépendants, l’inégalité est moins évidente. Et pourtant, celles-ci sont au moins aussi importantes que pour les travailleurs salariés. Les femmes perçoivent environ 20 % de moins que les hommes chez les auto-entrepreneurs. Ce qui correspond à environ un tiers de moins chez les indépendants « classiques » (hors auto-entrepreneurs). Enfin, c’est environ 30 % de moins pour les dirigeantes d’entreprises[2] !

Ces écarts s’expliquent notamment par les différences de temps de travail entre les hommes et les femmes. Les secteurs, plus ou moins rémunérateurs, dans lesquels ils exercent ont aussi une incidence.

Le taux de femmes dirigeantes, quant à lui, est toujours inférieur à celui des hommes. Il est d’environ un tiers en 2012. Il est de 17 % seulement pour les entreprises hors SARL (SA, SAS, etc.) qui emploient des salariés, comme chez ACS Traduction !

Pourtant, si le plafond de verre est toujours bien réel, c’est grâce à des femmes pleines d’ambition que de nouvelles entreprises comme ACSTraduction voient le jour et prospèrent. Ces entreprises qui inversent les tendances et qui contribuent à donner une voix et à faire progresser les droits de la femme.

Et avec succès, qui plus est : l’activité de notre agence de traduction est en pleine croissance et l’équipe a accueilli une nouvelle collaboratrice, Manon, ce 2 mars !

[1] https://www.inegalites.fr/Les-inegalites-de-salaires-entre-les-femmes-et-les-hommes-etat-des-lieux

https://www.franceinter.fr/economie/cinq-chiffres-pour-comprendre-les-inegalites-de-salaires-entre-les-femmes-et-les-hommes

[1] Insee Première, n°1563, juillet 2015, « Indépendants et dirigeants salariés d’entreprise : un tiers de femmes »

https://www.c-mon-assurance.com/actualites/mutuelle-entreprise/femmes-dirigeantes-les-inegalites-persistent/